TEST 15 JOURS

Allemagne : l’IG Metall présente un état des lieux de ses recherches sur le « crowdworking »

La vice-présidente du syndicat IG Metall, Christiane Benner, a présenté, vendredi 9 juin, un bilan du « travail exploratoire » de son organisation dans le domaine du crowdworking, le travail payé à la tâche via des plateformes internet. A cette occasion, les experts Bernd Waas (Allemagne) et Wilma B. Liebman (USA) ont présenté une étude qui étudie pratiques et réflexions sur le crowdworking en Allemagne, aux USA et au Japon. De quel statut juridique et de quelle protection sociale dispose le Crowdworker ? Quelle relation contractuelle a-t’il avec le « crowdsourcer » (entreprise donneuse d’ordre) ? Peut-on protéger les crowdworkers à partir des législations existantes ? Voici quelques-unes des nombreuses questions posées par le développement de cette nouvelle forme de travail.

Par Thomas Schnee. Publié le 14 juin 2017 à 11h30 - Mis à jour le 14 juin 2017 à 12h31

Le projet Crowdworking de l’IG Metall. C’est dans la Betahaus, l’un des espaces de « co-working » les plus courus de la capitale allemande, que la vice-présidente de l’IG Metall, Christianne Benner, avait invité experts et journalistes pour faire le point, vendredi 9 juin, sur les actions engagées autour de ce nouveau phénomène par le plus gros syndicat sectoriel du monde. Etaient également présents Bernd Waas, titulaire de la chaire de droit du Travail à l’Université Goethe de Francfort, ainsi que Wilma B. Liebman, avocate américaine spécialisée sur le droit du travail et ancienne présidente du National Labor Relations Board. Ils sont tous deux contributeurs de l’étude « Crowdwork – A comparative Law Perspective », réalisée par l’Institut Hugo Sinzheimer pour le droit du travail à la demande de l’IG Metall.…

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