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Areva : interview des membres du comité de pilotage du projet ODEO sur la mise en oeuvre paritaire de l’accord européen sur l’égalité des chances

Marianne Naud - En lançant le projet, nous savions que ce serait difficile et de fait, nous avons rencontré des réticences tant du côté des responsables Ressources humaines que de celui des représentants du personnel. Mais aucun de nous n’a pris la mesure des progrès que nous ferions grâce au projet ODEO. L’effet démultiplicateur du dialogue social s’est démontré partout mais à des degrés différents. Pour le groupe Areva, c’est un constat important. Au niveau européen, comme pour tous nos accords, nous construisons la politique sociale à travers la démarche contractuelle et précisément, nos accords doivent être mis en œuvre si nous voulons garantir la pérennité de cette politique sociale.   

Par . Publié le 04 mai 2009 à 10h17 - Mis à jour le 24 mars 2013 à 17h15

irmer que le développement du dialogue social à tous les niveaux est un moyen de garantir l’application d’un accord transnational au plus près du terrain. (Réf. 090477)

  • Dans le bilan du projet ODEO (v. dépêche 090158), vous faites un certain de nombre de constats sur les résultats. Quelle seraient, selon vous, les principaux enseignements que vous avez tiré de ce projet ?  

Marianne Naud – En lançant le projet, nous savions que ce serait difficile et de fait, nous avons rencontré des réticences tant du côté des responsables Ressources humaines que de celui des représentants du personnel. Mais aucun de nous n’a pris la mesure des progrès que nous ferions grâce au projet ODEO.…

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