Accueil » Responsabilité sociale des entreprises » Initiatives des pouvoirs publics et autres parties prenantes » Grande-Bretagne : les grandes entreprises vont devoir prouver qu’elles luttent contre l’esclavage Grande-Bretagne : les grandes entreprises vont devoir prouver qu’elles luttent contre l’esclavage Afin de mettre fin à l’esclavage qui gangrène les chaînes d’approvisionnement, le gouvernement britannique va demander aux grandes entreprises de jouer la carte de la transparence en prouvant publiquement chaque année que des mesures ont été prises pour éradiquer ce fléau devenu endémique dans certains secteurs ou pays. Par Jessica Agache-Gorse. Publié le 14 octobre 2014 à 13h13 - Mis à jour le 14 octobre 2014 à 13h13 Ressources Chaque année, les grandes entreprises britanniques vont devoir faire état publiquement des efforts faits pour stopper le fléau de l’esclavage dans leurs chaînes d’approvisionnement, a annoncé le 13 octobre dans un communiqué le ministère de l’Intérieur. Cette mesure, comprise dans la loi sur l’esclavage moderne (the Modern Slavery Bill) actuellement examinée par le Parlement, pourrait être «la loi anti-esclavage la plus poussée au monde»,… Jessica Agache-Gorse Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind Quel service voulez-vous contacter :La rédactionLe service commercialLe support techniquePrénom Nom Organisation Fonction Courriel* Objet du message Votre messageRGPD J’accepte la politique de confidentialité.CommentsCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Essentiels Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Accompagner la parentalité en entreprise, une stratégie gagnant-gagnant Le soutien aux salariés aidants, un enjeu de RSE Analyses Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Congé de paternité : 41 pays à la loupe [data] UE : cinq États membres ont revalorisé leur salaire minimum au cours du premier semestre 2022