Accueil » Relations collectives » Relations sociales nationales » Grande-Bretagne : après Uber, Deliveroo mis au pied du mur par un syndicat Grande-Bretagne : après Uber, Deliveroo mis au pied du mur par un syndicat Un syndicat britannique a officiellement demandé à la direction de l'application de livraison de plats de restaurants à domicile Deliveroo de l'autoriser à représenter des coursiers lors des négociations collectives. Le but de cette démarche inédite dans l'univers de la gig economy est de permettre aux travailleurs indépendants d'obtenir le statut de «salariés» en profitant de la brèche ouverte récemment par le tribunal pour les conducteurs d'Uber. Par Jessica Agache-Gorse. Publié le 09 novembre 2016 à 12h15 - Mis à jour le 09 novembre 2016 à 9h21 Ressources C’est via une lettre adressée au fondateur et directeur général de Deliveroo, Will Shu, que le syndicat des travailleurs indépendants britanniques – Independent Workers Union of Great Britain (IWGB) – a demandé officiellement à devenir le représentant d’un groupe de coursiers travaillant actuellement à Camden, un quartier du nord de Londres, lors des négociations salariales. La démarche est inédite car en Grande-Bretagne,… Jessica Agache-Gorse Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind Quel service voulez-vous contacter :La rédactionLe service commercialLe support techniquePrénom Nom Organisation Fonction Courriel* Objet du message Votre messageRGPD J’accepte la politique de confidentialité.PhoneCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Essentiels Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Accompagner la parentalité en entreprise, une stratégie gagnant-gagnant Le soutien aux salariés aidants, un enjeu de RSE Analyses Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Congé de paternité : 41 pays à la loupe [data] UE : cinq États membres ont revalorisé leur salaire minimum au cours du premier semestre 2022