Accueil » Evolutions juridiques » Législations nationales » Belgique : des dispositions pour maintenir l’emploi en cas de Brexit dur Belgique : des dispositions pour maintenir l’emploi en cas de Brexit dur Par . Publié le 24 février 2020 à 15h15 - Mis à jour le 24 février 2020 à 15h15 Ressources La Chambre des représentants a approuvé, le 20 février, une proposition de loi qui contient des mesures temporaires qui ont pour principal objectif d’éviter ou de limiter la perte d’emplois en cas de Brexit sans accord. Ces dernières s’inspirent de celles prises en 2009 suite à la crise financière. Pour en bénéficier et être reconnu comme entreprise en difficulté, l’employeur devra démontrer une baisse du chiffre d’affaires, de la production ou des commandes de 5%. Sont prévues les possibilités de réduire le temps de travail, de manière individuelle, d’un cinquième ou d’un mi-temps (pendant six mois maximum), de réduire collectivement le temps de travail (d’1/4 ou d’1/5) ou encore de suspendre collectivement les prestations de travail pour les ouvriers (8 semaines maximum, 13 semaines en temps réduit). Quelque 42 000 emplois seraient menacés en Belgique en cas de Brexit sans accord. Brexit Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind Quel service voulez-vous contacter :La rédactionLe service commercialLe support techniquePrénom Nom Organisation Fonction Courriel* Objet du message Votre messageRGPD J’accepte la politique de confidentialité.CommentsCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Essentiels Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Accompagner la parentalité en entreprise, une stratégie gagnant-gagnant Le soutien aux salariés aidants, un enjeu de RSE Analyses Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Congé de paternité : 41 pays à la loupe [data] UE : cinq États membres ont revalorisé leur salaire minimum au cours du premier semestre 2022