Après avoir entamé une démarche similaire dans d’autres pays européens, l’application de livraison de plats de restaurants à domicile va mettre fin au travail à la tâche de ses livreurs en Grande-Bretagne. Cette révolution dans le monde de la gig economy leur permettra de gagner au moins le salaire minimum horaire et d’avoir des droits sociaux. D’ici mars, plus de 1 000 contrats seront ainsi créés à Londres, que ce soit à temps partiel, temps plein ou en contrats zéro heure, ne garantissant ni temps de travail ni salaire. Cependant, les livreurs seront employés via une agence d’intérim, ce qui déplaît aux syndicats.
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