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Allemagne : étude sur le « crowd-working interne » et ses implications sur les structures de l’entreprise

La fondation syndicale Hans Böckler présente sa première étude sur le phénomène du « crowd work interne » et ses implications pour l’organisation du travail et la gestion des ressources humaines. L’étude se base, entre autres, sur plusieurs études de cas concernant des entreprises du monde de l’automobile, des télécoms et du secteur informatique. Outre les différentes variantes et principes du « crowd work », les auteurs pointent les énormes avantages que peut apporter le crowd work en interne, tout en pointant les risques de densification du travail et de stress, via une mauvaise intégration du crowd work dans les rythmes classiques.

Par Thomas Schnee. Publié le 04 juin 2020 à 13h59 - Mis à jour le 28 juillet 2020 à 16h04

Le crowd work interne, mal connu mais en développement.  Le « travail en essaim », ou « crowd work » est généralement connu sous sa forme externe : une entreprise fait appel via une plateforme informatique à des travailleurs au statut pas toujours précis, pour réaliser forfaitairement des tâches morcelées et clairement définies ou participer à des projets plus importants. Aujourd’hui, cette organisation du travail se développe aussi et de plus en plus en interne. Mais ses effets sur les salariés, ou les conséquences sur les structures de l’entreprise sont mal connus. La fondation Hans Böckler présente ainsi sa première étude « Die interne Crowd » sur le phénomène du « crowd work interne » et ses implications pour l’organisation du travail et la gestion des ressources humaines.…

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