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Daimler : ouverture de négociations sur le droit au travail mobile

Le constructeur automobile allemand offre déjà de nombreux modèles de temps de travail, mais visiblement pas assez. Dans un grand sondage interne, près de 80 % des 33 000 salariés interrogés, revendiquent le droit au travail mobile. Daimler a donc décidé d’étendre plus avant la flexibilisation du temps de travail et le travail mobile pour ses salariés allemands. Et ce afin d’offrir une meilleure conciliation entre vie privée et vie professionnelle ou faciliter le travail de coordination entre des filiales qui se trouvent à l’autre bout de la planète. Depuis le mois de septembre, plusieurs mesures, notamment sur la sécurité de l’emploi, ont aussi été prises. Et après une période de réflexion collective sur les résultats du sondage, des négociations viennent de s’ouvrir avec les partenaires sociaux pour aboutir à un accord d’entreprise sur le temps de travail et le travail mobile.

Par Thomas Schnee. Publié le 25 janvier 2016 à 11h46 - Mis à jour le 25 janvier 2016 à 11h55

33 000 réponses et 80 % pour le droit au travail mobile. Alors que le concurrent BMW et le sous-traitant Bosch ont déjà passé des accords sur le droit au travail mobile dans l’entreprise, Daimler continue de proposer un modèle de travail mobile relativement limité et peu flexible auquel le salarié peut accéder seulement si son supérieur lui donne le feu vert. Pour élargir ces pratiques qui ne permettent pas seulement de proposer des horaires plus « agréables » aux salariés, mais aussi de faciliter des vidéo-conférences entre des équipes de travail situées aux quatre coins de la planète,…

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