TEST 15 JOURS

Allianz SE : la direction du groupe et le CE européen signent un accord européen sur des lignes directrices contre le stress

Le premier grand projet européen. Pour Allianz SE, l’accord présenté le 5 mai a une double signification. C’est d’une part la reconnaissance « officielle » de problèmes grandissants liés au développement du stress au travail. C’est aussi la première grande initiative transfrontalière lancée par le CEE à destination des salariés : « Depuis l’adoption du statut de Société européenne en 2006, le CE a surtout été occupé par l’accompagnement du processus de restructuration du groupe qui comprenait d’importantes réductions d’emplois. Les négociations se sont cependant déroulées à des niveaux régionaux et ne touchaient pas toutes les filiales nationales de la même manière. En cela, on peut donc dire que l’accord anti-stress est notre première grande action d’offre aux salariés avec une dimension européenne unitaire », a expliqué Rolf Zimmermann à Planet Labor. La négociation a réuni les représentants des plus gros pays couverts par l’accord, c’est-à-dire l’Allemagne, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie et les représentants des pays du « pool Europe de l’Est ». A ce groupe est venu s’ajouter Jörg Reinbrecht en tant que « partie conseil ». Il est tout à la fois membre du Conseil de surveillance d’Allianz SE, responsable de la branche « Services financiers » du syndicat allemand des services Verdi et vice-président de UNI Europa Finance. En tout, l’accord concerne les filiales nationales de l’Union européenne, de Suisse et des Etats contractants de l’Espace économique européen. L’accord d’Allianz SE s’appuie, tant pour les définitions du stress que pour le cadre des actions à entreprendre, sur les directives européennes 89/391/CEE (santé et sécurité sur le lieu de travail) et 90/270/CEE (prescriptions minimales de sécurité et de santé relatives au travail sur des équipements à écran de visualisation), ainsi que sur l’Accord-cadre contre le stress signé en 2004 par les partenaires sociaux européens.

Par . Publié le 25 mai 2011 à 13h09 - Mis à jour le 24 mars 2013 à 16h36

les représentants des pays du « pool Europe de l’Est ». A ce groupe est venu s’ajouter Jörg Reinbrecht en tant que « partie conseil ». Il est tout à la fois membre du Conseil de surveillance d’Allianz SE, responsable de la branche « Services financiers » du syndicat allemand des services Verdi et vice-président de UNI Europa Finance. En tout, l’accord concerne les filiales nationales de l’Union européenne, de Suisse et des Etats contractants de l’Espace économique européen. L’accord d’Allianz SE s’appuie, tant pour les définitions du stress que pour le cadre des actions à entreprendre,…

Besoin d’informations complémentaires ?

Contactez

le service d’études à la demande de mind

  • Ce champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé.