Accueil » Relations collectives » Relations sociales nationales » France : un accord chez Airbus pour organiser la récupération des heures non travaillées pendant la période d’interruption des activités France : un accord chez Airbus pour organiser la récupération des heures non travaillées pendant la période d’interruption des activités L ‘accord de groupe signé le 20 mars, complété d’un avenant conclu le 26 mars, sur la récupération des heures et jours perdus dans le cadre de l’épidémie définit le régime des interruptions d’activités pour la période allant du 23 mars au 5 avril et définissent « des modalités de reprise d’activité progressive selon les besoins des différents secteurs de l’entreprise, en fonction de la charge qui sera la leur d’ici la fin de l’année 2020. » Par . Publié le 31 mars 2020 à 14h12 - Mis à jour le 31 mars 2020 à 13h50 Ressources S’agissant dans un premier temps du régime des heures non travaillées pendant la semaine du 23 au 5 avril (qualifiée de période d’interruption collective), l’accord et son avenant prévoient que ces jours ou heures non travaillés devront être récupérés afin de garantir la reprise d’activité et la récupération du retard pris pendant la période de confinement. … Gestion des conséquences du Covid-19 Besoin d’informations complémentaires ? Contactez le service d’études à la demande de mind Quel service voulez-vous contacter :La rédactionLe service commercialLe support techniquePrénom Nom Organisation Fonction Courriel* Objet du message Votre messagePhoneCe champ n’est utilisé qu’à des fins de validation et devrait rester inchangé. Essentiels Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Accompagner la parentalité en entreprise, une stratégie gagnant-gagnant Le soutien aux salariés aidants, un enjeu de RSE Analyses Synthèse et historique de tous les contenus sur une thématique suivie en détails par la rédaction Les dernières publications Congé de paternité : 41 pays à la loupe [data] UE : cinq États membres ont revalorisé leur salaire minimum au cours du premier semestre 2022