TEST 15 JOURS

Italie : le groupe pétrolier ENI amplifie le « smart working »

Au vu du succès de la phase expérimentale lancée en février 2017 -  qui ne concernait que les parents de jeunes enfants -  ENI et les syndicats Filctem-Cgil, Femca-Cisl et Uiltec-Uil ont signé un accord le 23 mars pour étendre le travail agile à d’autres catégories de travailleurs. L’enquête de satisfaction effectuée en juillet dernier sur les smart workers de la phase-pilote et sur leurs chefs donne un éclairage intéressant sur les bénéfices de cette modalité de travail, mais aussi sur l’écart entre l’enthousiasme des salariés concernés et les réticences des responsables.

Par Hélène Martinelli. Publié le 04 avril 2018 à 14h12 - Mis à jour le 21 juillet 2020 à 15h15

Le nouvel accord. L’accord de fin mars – qui tient compte de la loi de mai 2017, en adaptant certaines mesures comprises dans le précédent accord de février 2017 – confirme de façon structurelle le smart working destiné aux parents d’enfants de moins de 3 ans dans une optique de soutien à la parentalité, et marque le coup d’envoi d’une nouvelle phase expérimentale. Le travail agile sera en effet ouvert à environ 1 000 travailleurs des filiales ENI Progetti,…

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