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ENGIE : signature d’un accord européen pour garantir l’employabilité dans le contexte de transformation du groupe

Le 8 avril, l’énergéticien et les trois fédérations syndicales européennes - IndustriAll Europe, EPSU (service public) et FETBB (bois et bâtiment) - ont signé un accord européen qui vise notamment à « permettre à chaque salarié de construire son parcours professionnel dans le groupe dans un contexte d’évolutions des organisations » souligne le communiqué commun des signataires. Cet « accord social européen » réaffirme et renforce l’accord GPEC également conclu au niveau européen en 2010 sur les aspects dialogue social anticipatif et pose des garanties sociales lorsque les conditions de travail des salariés sont amenées à être modifiées suite aux adaptations des organisations. Il prévoit également des engagements forts et chiffrés sur la politique de formation - à laquelle sera allouée un budget annuel de 100 millions d’euros pendant trois ans - et favorise la promotion de la mobilité interne pour garantir l’employabilité à l’intérieur de groupe.

Par . Publié le 11 avril 2016 à 16h02 - Mis à jour le 13 avril 2016 à 18h14

ENGIE n’en est pas à sa première négociation transnationale, et ce nouvel accord témoigne de l’expérience de négociation à ce niveau depuis Suez. Rien qu’après la fusion avec Gaz de France, le groupe a signé 4 accords européens: gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (en 2010, v. dépêche n°100168), H&S (2010, v. dépêche n°100169), égalité professionnelle (2012, v. dépêche n°120368), qualité de vie au travail (2014, v. dépêche n°8750). À cela s’ajoutent les accords mondiaux : celui sur les droits fondamentaux (en 2010, v. dépêche n°100819) et celui sur la santé au travail et la sécurité au travail (en 2014,…

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