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RSE : quand les foyers infectieux de Covid-19 mettent au jour des conditions de travail parfois assimilables à de l’esclavage moderne au cœur même de l’Europe

Le coronavirus a parfois agi comme un révélateur. Après un secteur entier stigmatisé en Allemagne, celui des abattoirs, c’est au tour de l’entreprise britannique de vente de vêtements en ligne Boohoo, accusée d'avoir recours à des fournisseurs aux pratiques quasi-esclavagistes et d'avoir contribué à propager le nouveau coronavirus d’être sur la sellette. Dans les deux cas, la réaction a été vive. En Allemagne, des mesures ont été prises pour lutter contre la précarité qui caractérise l’industrie de la viande. En Grande-Bretagne, Boohoo est lâchée par ses clients et ses investisseurs.

Par . Publié le 09 juillet 2020 à 14h14 - Mis à jour le 20 octobre 2020 à 10h28

Boohoo ou l’esclavage moderne en plein cœur du Royaume-Uni. « Comment @boohoo peut faire état d’une croissance de 44 % au premier trimestre de cette année et d’une augmentation de 22 % des actions, malgré la pandémie mondiale ? Les travailleurs font état de violations du confinement, de fraudes aux aides gouvernementales au chômage partiel, d’esclavage moderne dans la chaîne d’approvisionnement de Boohoo ? …

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