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Carrefour : entretien avec Bertrand Swiderski, Directeur RSE, sur l’Accord Bangladesh

Carrefour était une des premières entreprises à signer l’accord sur la sécurité incendie et des bâtiments des usines au Bangladesh en 2013 (v. dépêche n°130323). Elle est une des premières à avoir renouvelé son engagement dans le cadre du nouvel accord signé le 10 juillet 2017 (v. dépêche n°10278). Bertrand Swiderski, Directeur RSE du groupe nous explique pourquoi.

Par . Publié le 04 octobre 2017 à 15h30 - Mis à jour le 05 octobre 2017 à 16h22
  • Lors de la conclusion du premier Accord en 2013, les enseignes et les marques se sont divisées en deux camps entre celles qui ont adhéré à l’Accord et celles qui ont développé une initiative alternative. Ces dernières ont rejeté le caractère contraignant de l’accord (legally binding). Ce point ne vous a pas gêné ?

Bertrand Swiderski. Pour nous la cause collective était plus importante que ce sujet du « legally binding ». De plus, cette initiative cadrait parfaitement avec les trois axes de notre stratégie RSE. D’une part, nous avons des process de contrôle du respect de nos contrats avec nos fournisseurs, lesquels reflètent nos engagements en matière de Droits de l’Homme, avec des contrôles internes et des audits externes. D’autre part, nous pensons que pour véritablement avoir un impact sur les conditions de travail,…

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